A Bamako comme dans les autres grandes villes, c’est principalement les gaz échappement des voitures qui produisent, ainsi que toute autre combustion. La poussière soulevée par l’harmattan et la vaporisation de produit chimique y contribuent aussi.
Partout dans la capitale, on essaie tant bien que mal de protéger ses poumons de cette atmosphère étouffante chaleur, poussière et pollution créent parfois un phénomène qu’on appelle les smocks (deux mots anglais smoke (fumée) et fog (brouillard).
Et c’est dangereux pour la sante.
Les Bamakois et Bamakoises ne respirent plus un air plus sain et plus pur.
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